2013!

Je partage avec vous tous les voeux de bonheur, de réussite, d'amour et de paix que l'on m'a souhaités depuis le début de l'année!

 

Je partage aussi ce joli diaporama que l'on m'a envoyé! Bonne année!

 

 

 

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Danse avec les requins...2!

Je remets la même vidéo parce qu’elle m’inspire autre chose !

Si vous le regardez de nouveau, pensez à monter le son, la musique est fabuleuse! 

 

Alors, vous avez vu la parfaite synchronisation entre le plongeur et les requins ? En l’occurrence, le plongeur est une plongeuse. Elle est descendue au fond de l’eau, s’est posée, presque immobile, avec à peine quelques mouvements imperceptibles, aidée par l’apesanteur, elle est dans la même fluidité que les grands squales qui lui tournent autour, comme fondue dans le décor, une danseuse de plus dans ce grand ballet aquatique.

 

Si vous pensez que ces bestioles l’on adoptée grâce aux petits poissons qu’elle leur donne à manger, vous vous trompez ! Si ils la laissent évoluer dans leur cercle et acceptent d’entrer en communication avec elle pour prendre ce qu’elle a à leur donner, c’est d’abord et avant tout parce qu’elle est synchrone. Elle les observe puis se met à leur diapason, en entrant dans leur univers, elle oublie le sien, parce qu’elle sait que sans ce mimétisme, cette synchronisation, elle n’entrera pas en relation avec eux.

 

Ceci est l’un des grands principes de base de la PNL*. Pour pouvoir entrer en communication avec l’autre, sachez entrer dans son univers, apprenez à l’écouter, ne jugez pas sa façon d’être ou de penser, n’essayez pas d’imposer votre point de vue ou vos croyances, acceptez le tel qu’il est. Faites le test, vous verrez par vous même ! Quand la personne que vous approchez se sent acceptée dans sa manière d’être, quand vous n’êtes pas animé par la peur de l’autre, le jugement ou la comparaison, quand vous vous mettez à son diapason, la relation gagne en respect et en authenticité.

 

Et vous pourrez vous aussi danser avec les requins… ! 

 

*Programmation Neuro Linguistique

 

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Danse avec les requins...

Quand j’ai vu cette vidéo, j’ai été époustouflée par les images et j’ai adoré la musique qui les accompagne. Alors je l’ai regardée une seconde fois et là, je me suis demandée ce qui me branchait le plus. Est-ce que c’est la peur que m’inspireraient ces bestioles ? Ou bien est-ce que c’est la beauté des images ?

 

En fait, ce qui m’a épatée, c’est le tempo, et à un double niveau. D’abord, celui de l’animal. Il y a quelque chose de totalement pur, évident, dans la manière d’être. Le requin ne se pose pas la question de savoir si il est à son avantage, il ne juge pas, ne se compare pas aux autres, il n’est pas angoissé par l’image qu’il renvoie, il est. Et il est purement lui même.

 

Quand je regarde le chat, ou n’importe quel autre animal, c’est pareil. Certes, ils peuvent se battre sans pitié pour la survie, le territoire ou la reproduction, mais ils ont une manière d’être à eux mêmes totalement pleine. Sans auto jugement ni dévalorisation, ni mascarade destinée à se montrer tels qu’ils ne sont pas. Un requin n’essaie pas d’être un chat et un chat ne se rêve pas en aigle… Il est parfaitement tel qu’il est.

 

Et si nous essayions plus souvent d’être nous mêmes, seulement nous mêmes au lieu de nous inventer des rôles qui nous vont mal ? Renouer avec « je suis comme je suis ; et tel que je suis, je suis parfait(e) », voilà qui nous permettrait d’avoir cette fluidité dans les mouvements, cette simplicité évidente d’être la personne que l’on est, ce tempo parfait du poisson dans l’eau ! 

 

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Confiance en soi

J’y vais ou j’y vais pas ? Difficile question à laquelle on est confronté lorsqu’il s’agit de faire un choix, de prendre une décision, de changer…

Qu’est ce qui fait que certains avancent ou semblent être facilement portés par le courant quand d’autres tergiversent, hésitent et restent sur place quitte à s’y morfondre?

On pourrait avancer nombres de causes rationnelles empruntant à la fois au contexte extérieur et intérieur propre à chaque personne, on peut également se référer aux études neuroscientifiques et notamment les recherches qui ont mis en évidence la zone du regret dans le cortex cérébral. (Quand cette zone disfonctionne, le sujet n’est plus apte à décider, à rationnaliser, à mettre en perspective un rapport risque/bénéfice).

 

Tout ça est intéressant et les ouvrages spécialisés mis bout à bout couvrent des rayonnages de bibliothèques. Seulement voilà, une fois que l’on a compris la mécanique, est-ce que l’on est plus à même d’oser ? De se lancer ? D’aller de l’avant ? D’inventer ? De mobiliser toutes ses ressources pour un projet, ou un instant qui en vaudrait la peine ?

 

Pas sûr. Si le savoir et la raison étaient suffisants pour oser être soi et avancer dans la vie, il suffirait de prescrire des heures d’études en bibliothèque à ceux qui n’osent pas, ceux qui procrastinent, ceux qui ne décident pas, ceux qui font du sur place par peur du changement…

 

En fait, la réponse est dans la simplicité. On peut parler neurones, activité cérébrale, cortex frontal, on peut également parler construction psychique, processus systémiques ou comportementaux, on peut décortiquer, couper les cheveux en 4, en douze ou en 36, la solution demeure dans le simple. C’est de confiance en soi dont il s’agit.

 

Alors la confiance en soi, c’est un socle dont les fondations sont posées dès les premières secondes de la vie et qui s’édifie sous le regard bienveillant de des parents. Ça, c’est dans le meilleur des cas. Quand la confiance en soi est abîmée, ou absente, elle peut être restaurée en thérapie, notamment grâce à l’hypnose. En restaurant sa confiance, c’est toute la personne que l’on réhabilite.

 

Avoir confiance en soi, en ses ressources, en sa capacité à créer sa chance, ses projets, ses opportunités, ses succès, sa vie, sa joie, c’est créer sa propre réalité.

 

Bon, soyons pratique : « je manque de confiance en moi » ça veut dire quoi ? c’est vague, non ? Cherchez ce que vous feriez si vous aviez confiance en vous. Qu’est ce qui, à vos yeux, serait la preuve que vous avez confiance en vous ? Soyez concret, trouvez l’exemple, la situation qui correspond, selon vous, à la confiance en soi.

Et regardez ce joli film très bien fait, ça va vous donner des idées. 

 

Apprivoisez votre loup intérieur, faîtes en un allié, prenez sa force autant que sa confiance..en vous. 

 


 

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Le choix d’avancer…

J’adore ce petit film, je ne me lasse pas de le regarder. D’abord, ils sont rigolos ces pingouins à la démarche chaloupée. Et puis il est tellement tentant de leur prêter des attitudes et comportements très humains.

Comment ne pas imaginer qu’ils se concertent pour savoir quel chemin prendre quand leurs têtes se rapprochent ?

Comment ne pas imaginer que celui qui a sauté bombe le torse, fier de l’effort accompli ? C’est très drôle de prêter aux animaux nos propres attitudes !

Moi j'imagine leur dialogue: "rho, mais comment on va passer? t'as une idée toi?"...!

 

Et puis au delà de l’amusement, je ne peux pas m’empêcher d’éprouver une forme de tendresse pour ces deux compères qui n’ont pas, mais vraiment pas envie de se mouiller les pattes ! Alors vous savez comme il est humain de s’identifier à l’autre, comment on se retrouve chez l’autre, comment fonctionne cet effet miroir entre nous et autrui. Eh bien avec ces deux pingouins, c’est un peu pareil.

Je vois l’hésitation quand on est au bord, juste au bord. Comme il est difficile de sauter pour passer de l’autre côté de la rive. Comme on peut douter, parfois, de réussir et hésiter longuement avant de se lancer. Comme on peut avoir envie, comme on peut rêver d’être déjà parvenu là où l’on veut aller et comme parfois ce que faire un pas, juste un pas, demande d’efforts, de doutes, de regards en arrière, d’hésitation…

 

Mais quand on a un objectif, quand cet objectif est précis, quand on le veut vraiment, vraiment, alors il est plus facile de mobiliser toutes ses ressources, son énergie, sa créativité et hop ! On surmonte, on traverse, et on avance vers ce que l’on souhaite.

 

La prochaine fois que vous aurez une hésitation, un doute, un manque d’énergie pour avancer, pensez à ces deux compères à la démarche chaloupée. Souvenez vous de ce saut par dessus la rigole. Un petit saut pour vous, un grand saut pour le pingouin  et la conquête d’un nouvel horizon. Donnez vous envie, une fois la rigole traversée, de bomber le torse, avec fierté, pour cette avancée conquise. La liberté, finalement, c’est s’imposer ses propres limites. Et manifestement ces deux pingouins ont décidé qu’ils avaient la liberté de franchir la limite qui semblait les retenir… Quelles sont les limites que vous vous imposez, et quelles sont celles que vous pourriez choisir de franchir ?

 

Faites une petite liste, décidez aujourd’hui d’aller vers quelque chose que vous avez l’habitude de vous refuser, décidez quelle limite vous pouvez franchir, pour plus de bien être, plus de liberté, plus de joie, dans le respect des autres ?

Autorisez vous à franchir la petite rigole qui vous empêche d’aller vers quelque chose qui vous ferait plaisir et que la culpabilité, la peur ou le manque de confiance vous interdit. Un « non » que vous n’osez pas dire ? Un choix que vous n’osez pas faire ? Un petit achat que vous vous refusez ? Un moment pour vous, rien que pour vous, que vous ne vous autorisez pas ? Allez, avancez jusqu’au bord, une grande inspiration et hop ! Le petit saut qui vous emmène vers la liberté !

 

 

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De la responsabilité de choisir ses pensées…

Pourquoi est-il si difficile de choisir ses propres pensées ? Qu’est ce qui fait que l’on ressasse, que l’on juge, que l’on critique, que l’on se laisse envahir par les manques, les frustrations, alors qu’il est tellement plus agréable de penser à des choses agréables ?

 

D’où vient cette habitude de s’empoisonner l’esprit avec des pensées négatives, pessimistes, malveillantes ou irrespectueuses ?

Si il y a bien une chose que l’on peut décider, contrôler, choisir, ce sont nos pensées ! Parce que même si il existait une loi qui nous forçait à tourner en boucle dans nos esprits des pensées négatives, et que nous ne respections pas cette loi, qui pourrait nous verbaliser?

Une pensée, ça ne se voit pas. Une pensée, ça n’a pas de forme, pas de matière. Rien ni personne ne peut forcer quelqu’un à « mal » penser… Alors pourquoi est-ce que l’on ne se débarrasse pas de ces pensées dérangeantes ?

 

Il n’y a pas de réponse unique ou de raison objective et partagée par tous qui puisse répondre à cette question. Mais dans les grandes lignes, il y a quelques paramètres assez communément partagés. L'un d'eux est que la position de victime offre beaucoup de confort. Penser du mal des gens, c’est se rassurer et se dire que eux, ils sont moches et nous, on est bien! Rejeter tout sur le dos des autres et en profiter pour ressasser ses griefs, c’est éviter de se regarder soi même et fuir sa propre responsabilité. C'est finalement se décharger sur les autres de ce qui nous appartient...

 

Par exemple, il est fréquent d’entendre, à propos d’un patron, ou d’un collègue, ou d’un conjoint, ou d’une relation : « Cette personne a gâché ma vie ». Hum hum… Alors donc, le collègue en question, ou la relation incriminée serait responsable de votre propre vie ? Est-ce à dire que votre vie est dans les mains de quelqu’un d’autre que vous ? De quelle manière est-il possible de confier sa vie à quelqu’un d’autre ? Quelqu’un que vous n’appréciez pas, de surcroît ! En tout cas, le moins que l’on puisse dire est qu’en disant d’une personne qu’elle a pu gâcher une vie, on lui confère un pouvoir immense.

 

En réalité, personne n’a un tel pouvoir. Mais il est plus rassurant d’être la victime, de juger l’autre comme coupable et de tout lui mettre sur le dos, plutôt que regarder en face ses propres responsabilités. (Bien entendu, je ne parle pas ici de situations qui nécessitent l’intervention de la police et de la justice.)

Alors donc, au lieu d’avoir des pensées constructives, au lieu d’aller de l’avant, de progresser et de chercher comment avancer, on ancre dans son esprit des pensées de vengeance, de haine, d’acrimonie…

 

Une autre raison peut être liée à l’habitude. L’esprit a l’habitude de penser ceci, ou cela de négatif et lui demander de faire volte face, c’est lui imposer un effort qu’il n’a pas immédiatement les moyens de faire. De plus, les pensées nous viennent comme d'une manière aussi automatique que les battements du cœur, ou les mouvements des cils. On n’y pense pas, c’est l’inconscient qui s’en charge pour nous. Et l’inconscient a pour mission de faire au mieux. Ainsi, il accélère le rythme cardiaque ou la production d’adrénaline quand cela lui semble nécessaire et nous envoie les pensées qui lui semblent le plus appropriées.

Y compris les négatives si il considère que ces pensées négatives nous protègent. C’est automatique, habituel… Mais on peut agir pour changer ça.

 

Soit en activant les leviers de la volonté consciente, ça prend un peu de temps, soit en s’adressant directement à l’inconscient grâce à l’hypnose, ça va plus vite.

 

Alors pour l’hypnose, si on ne pratique pas l’autohypnose, on consulte un hypnothérapeute.

Pour activer les leviers de la volonté consciente, il y a par exemple un petit exercice hyper facile à faire et assez puissant si on prend la peine de persévérer.

 

Envie de le connaître ? Voilà : Partez du principe que toutes vos pensées sont visibles, que tout le monde peut alors savoir ce qui vous passe par la tête. Si vous êtes plutôt auditif, imaginez que tout le monde puisse entendre ce que vous pensez. Si vous êtes plutôt visuel, imaginez que tout le monde puisse voir ce que vous pensez, y compris vous même. Jouez le jeu à fond, imaginez vraiment que c'est réel, que vos pensées sont mises à jour.

Pratiquez cet exercice au moins une fois par jour pendant 5 minutes, puis plus longtemps et de plus en plus souvent.

Dans un premier temps, vous ferez attention parce que vous aurez peur de la réaction des autres si ils voyaient ou entendaient vos pensées, ou bien vous aurez un peu honte, alors vous apprendrez à pivoter immédiatement du négatif vers le positif.

Et puis petit à petit, vous réaliserez à quel point il est confortable de penser à des choses agréables, positives et plus vous pratiquerez, plus de nouveaux sillons vont se créer dans vos circuits neuronaux.

Les pensées emprunteront de plus en plus ces nouveaux circuits et délaisseront les autres chemins parce que votre esprit inconscient et votre esprit conscient auront de plus en plus de bénéfices. Et ces bénéfices seront objectivables dans votre quotidien, c’est à dire que vous en percevrez clairement les effets. Et plus ça continuera et plus vous deviendrez addict de la sérénité intérieure, comme libérés. Enfin libérés… Et grâce, et uniquement grâce à vous même. Maître de votre propre vie parce que vous saurez faire ce choix si simple de penser ce que vous avez envie de penser pour vous sentir bien.

 

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Tous uniques, tous identiques...

Il n’est pas nécessaire d’avoir étudié la philosophie pour savoir que l’existence d’autrui, des autres, conditionne ma propre existence ainsi que le regard que je porte sur moi même, en gros. Un enfant privé de l’existence des autres développe des carences psychoaffectives graves. C’est important « les autres ». C’est comme un miroir dans lequel on se cherche, on se trouve parfois, on se perd souvent… Dans l’autre, dans la vie de l’autre, dans son regard, dans ses gestes, dans ses mots, c’est soi même que l’on voit. Toujours.

 

On voudrait bien échapper à cette forme d’altérité, à cette forme de pouvoir de « autrui » sur le « je » mais c’est impossible car inhérent à la condition humaine.

L’autre constitue une partie de moi. C’est comme ça.

 

En ce sens, quand on juge l’autre, quand on le hait, quand on le fuit, c’est soi même que l’on juge, que l’on hait, que l’on fuit.

L’autre est bien pratique pour servir de réceptacle à nos propres misères. Ce constat pourrait être bien pessimiste, bien négatif. Pourtant, si on a envie d’apprendre quelque chose, d’avancer dans la connaissance de soi, de progresser vers le respect et l’amour de soi même, on pourrait prendre conscience de tout ça et c’est comme si ce miroir a des tas de choses à nous révéler.

 

Observer ce que l’on déteste chez l’autre pour savoir ce que l’on déteste chez soi même. Observer ce que l’on craint chez l’autre pour savoir ce que l’on craint chez soi même. Accepter que tout ce que l’on voit chez l’autre n’est que le miroir de ce qui existe en vous. Si l’on était pas porteur, soi même, de tel ou tel travers, tel ou tel défaut, telle ou telle noirceur, on serait incapable de le distinguer chez l’autre, parce que cela ne ressemblerait à rien de ce que l’on connaît.

 

Qu’est ce qui fait que l’on critique si bien la jalousie, l’égoïsme ou la malhonnêteté de l’autre et que l'on s'y attache avec autant de perspicacité dans le jugement? Eh bien c’est tout simplement que l’on porte en soi la jalousie, l’égoïsme ou la malhonnêteté. Si on ne portait pas en soi ces travers, on serait capable de les observer, mais cela n’aurait aucun impact sur nous, on ne jugerait pas, on ne critiquerait pas, on ne perdrait pas de temps et d’énergie à monter en épingle et à ressasser tout cela. Et si on le fait, c’est parce que cela fait résonner particulièrement la partie de nous qui est porteuse de cela.

 

Essayez d’observez ce que vous critiquez chez les autres et prenez conscience de ce que cela révèle en vous. C’est difficile, certes, mais c'est une manière de prendre conscience de ses propres faiblesses, de les reconnaître et de les accepter. C’est déjà beaucoup et c’est un très grand pas vers une forme de libération, d’amour et de respect de soi

 

Ah oui, j’allais oublier : pour parvenir à cette libération, cet amour et ce respect de soi, il faut être prêt à laisser tomber sa posture de victime des autres, cesser de penser que l’on vit ceci ou cela à cause des autres, en finir une bonne fois pour toute avec cette idée absurde que tout est de la faute des autres… En un mot, être prêt à devenir responsable de sa propre vie. 

 

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A propos de récolte...

Il y a l'expression "qui sème le vent récolte la tempête", ou bien "on récolte ce que l'on a semé", 

Je trouve assez dérangeant que ces expressions très populaires résonnent comme punition, ou menace. En général, quand on prononce l’une ou l’autre de ces formules, c’est pour dire de quelqu’un qu’il a bien mérité ce qui lui arrive de désagréable, ou bien pour prophétiser qu’il lui arrivera quelque chose de désagréable. Comme un retour de bâton...

 

Pourtant, c’est vrai, que l’on récolte ce que l’on sème. Mais ce n’est pas forcément une mauvaise récolte ! Parce que l’on peut très bien semer de belles graines…

 

Alors comment on les sème ces graines ? Oublions un instant le bien et le mal et l’idée du retour de bâton tel que perçus par ceux qui établissent des jugements de valeurs selon leurs propres critères et regardons du côté de la nature, de l’essence des graines semées. C’est quoi une graine ? Ce pourrait être un geste, une action, une réalisation qui entrainent d’autres gestes, d’autres actions, d’autres réalisations.

 

En réalité, c’est à la fois bien plus subtil et bien plus puissant que ça. Une graine c’est une pensée, une graine, c’est un peu comme une forme d’énergie émise par l’esprit et qui, par la suite, va se concrétiser et devenir geste, action ou réalisation. La physique quantique est venue corroborer l’intuition millénaire que la pensée crée la forme. Dans la foulée, les tenants de la loi d’attraction vendent des discours et des méthodes imparables pour créer de la richesse dans sa vie, ou de l’amour, ou je ne sais quel rêve.

 

C’est bien de la savoir, c’est très bien de le croire, c’est encore mieux de l’expérimenter. Comment ? Eh bien de la manière la plus simple qui soit : en choisissant ses pensées, comme on choisirait les graines que l’on va semer.

Chaque pensée est comme une graine. Une petite graine que nous mettons en terre et qui, à un moment ou un autre germe puis se développe.

Pensez manque, frustration, jalousie, haine, désespoir, difficultés, solitude, peur, et vous obtiendrez du manque, de la jalousie, de la haine, du désespoir, des difficultés, de la solitude et de la peur. Parce que ce sont les graines que vous aurez plantées.

Si vous choisissez de penser gratitude, joie, pardon, amour, compassion générosité, beauté, facilité, sérénité alors vous obtiendrez de la gratitude, de la joie, du pardon, de l’amour, de la compassion, de la générosité, de la beauté, de la facilité, de la sérénité…

 

Cela paraît simple ? Normal, c’est simple !

 

Vous doutez ? Eh bien essayez, essayez vraiment. Mettez dans la terre vos graines en prenant soin de choisir ce que vous souhaitez récolter. En d’autres termes, mettez dans votre esprit vos pensées en prenant soin de choisir ce que vous souhaitez obtenir.

 

L’astuce, pour obtenir une bonne récolte, c’est de comprendre que dans la graine, il y a déjà tout ce qui va germer. Observez des graines de tournesol, de cumin, de capucine, de haricot : elles sont toutes porteuses de ce qu’elles deviendront. En ce sens, une graine de tournesol est déjà un tournesol. Elle porte en elle toute l’essence de ce qui va germer, elle est, de manière intrinsèque ce qu’elle va devenir, elle vibre sa nature de tournesol.

 

Eh bien avec les pensées que vous allez planter, c’est identique. Une pensée dans votre esprit est déjà porteuse de ce qu’elle va devenir, elle vibre de ce qui va être créé. Pour donner à une pensée la capacité de germer, il est essentiel de la faire vibrer, de la rendre vivante.

De la même manière que la graine de tournesol est déjà un tournesol, une pensée d’abondance, de plénitude ou d’amour est déjà abondance, plénitude ou amour. Parce que si ce n’est pas le cas, si vous vous répétez en boucle, machinalement et sans le vibrer « je suis riche, je suis riche, je suis riche », vous ne récolterez pas grand chose. Tandis que si votre pensée est vivante, si vous vous réjouissez de tout ce que vous possédez, y compris les plus petites choses, si vous vibrer vraiment autour de toutes les richesses, même les plus infimes qui sont autour de vous, alors votre graine à toutes les chances de germer ! C'est la pensée de votre richesse actuelle qui va germer et produire une belle récolte.

 

Choisissez vos graines de pensée et considérez qu’elles sont déjà ce qu’elles deviendront, vibrez l’abondance, la paix, l’amour ou tout ce que vous souhaitez, vivez avec dans l’esprit la certitude que vous avez déjà l’essence de ce que vous voulez et ça va germer. Parce que c’est dans la nature des choses.

 

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MERCI, MERCI, MERCI...!

La gratitude est « la plus agréable des vertus et le plus vertueux des plaisirs …/… Quelle vertu plus légère, plus lumineuse, on voudrait dire plus mozartienne, et pas seulement parce que Mozart nous l’inspire, mais parce qu’il la chante, parce qu’il l’incarne, parce qu’il y a en lui cette joie, cette reconnaissance éperdue pour on ne sait quoi, pour tout, cette générosité de la gratitude, oui, quelle vertu plus heureuse et plus humble, quelle grâce plus facile et plus nécessaire que de rendre grâce, justement, dans un sourire ou un pas de danse, dans un chant ou un bonheur ? »

Extrait du « Petit traité des grandes vertus » de André Comte-Sponville

 

Voici la traduction du texte débité à toute vitesse au début de la vidéo:

 

"Beaucoup de gens pensent à tout ce qui manque dans leur vie et pendant qu’ils pensent à ce qui leur manque, ils en oublient toutes les choses formidables qu’ils ont déjà ! Nous avons créé cette danse de la gratitude pour exprimer notre reconnaissance à l’égard de tout ce que la vie nous apporte déjà. Alors quand vous vous réveillez le matin, règle numéro 1. Pensez à tout ce qu’il y a de bien dans votre vie et remerciez ! Règle numéro 2. Lancez cette vidéo et règle numéro 3. Dansez !"

 

Alors c’est d’accord ? Faites une liste de tout ce qui vous plait dans votre vie, de tout ce qui est beau, joyeux, utile ou agréable, même les plus petites choses, et chaque jour, au réveil ou au coucher, remerciez pour tout ça. Vous verrez, on sort du lit avec plus de facilité, et l’on glisse dans le sommeil avec plus de sérénité lorsque l’on s’offre un moment de pure gratitude. C’est à la fois reposant, sécurisant, joyeux et si facile à faire !

 

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